Notre
Méthodologie

Territorialiser les problèmes en les sériant à la source (ONDRP, Polices, etc.)

• Signaux forts : la malveillance
  Agressions, dégradations, menaces, insultes, intimidations, etc., doivent pouvoir faire l’objet d’un signalement si celui-ci est facilité par un dispositif de relevé et de saisie de l’information.
• Signaux faibles : les détails préoccupants
  Attroupements potentiellement hostiles, consommation de produits stupéfiants, transgression de règles d’accès ou de vie au sein d’espaces partagés , etc., sont des précurseurs d’une malveillance non avérée. Leur signalement engage la subjectivité du médiateur mais permet une prévention plus efficace de dérive possible.

Étudier les pratiques « jeunes » et faire l’historique des événements, apprécier le niveau actuel des nuisances et des tensions, évaluer les risques de dégradation de la situation.
Modalités opérationnelles de l’intervention

La présence sur le terrain des médiateurs est guidée par une feuille de route. Ils doivent effectuer des entretiens avec les différents acteurs concernés par « l’environnement » (groupes de jeunes, commerçants, travailleurs sociaux, habitants, …) et remplir une fiche d’observation préalablement établie en collaboration avec le service compétent chez son client (Tisséo, Altéal).

Objectifs de la démarche :

• Identifier clairement la nature des rapports entre ces différents acteurs.
• Identifier les causes et la motivation réelles des attroupements des jeunes (s’il y a lieu).
• Identifier avec précision les créneaux horaires pour organiser une reconquête des espaces.
• Identifier les jeunes « meneurs positifs » sur lesquels s’appuierait un éventuel projet sur le quartier.
• Déterminer les partenaires potentiels pour trouver une alternative aux attroupements des jeunes dans ces espaces collectifs.